Robert Gesink:
- "After a difficult season, I want to show the world that I'm still a good rider".
- «La saison a été difficile, je veux montrer au monde que je suis toujours un bon coureur».
Samuel Sanchez:
- "Our bad luck in Quebec continues as 6 of our riders crashed during a training ride but I'm happy to be here and it is important for the team to collect UCI points. I just need to avoid crashes and have a good week".
- «Nous sommes malchanceux au Québec : six de nos coureurs ont chuté durant une sortie d’entraînement! Mais je suis heureux d’être ici et c’est important pour l’équipe de mettre la main sur des points UCI. Il faut simplement que j’évite les chutes et que j’ai une bonne semaine».
Philippe Gilbert:
- "It will be difficult for us because we are favoured to win. The other teams will want us to do all the work but we don't have the strongest team in the peloton here in Quebec as we did in the Tour"... Being #1 in our sport is very important to me and I'm in a position to do it so I'd like to take full advantage of the opportunity"
- «Ce sera difficile ici pour nous. Nous sommes désignés à titre de favoris, alors les autres équipes voudront nous laisser faire tout le travail. Mais contrairement à ce qui s’est passé sur le Tour, nous n’avons pas l’équipe la plus forte du peloton ici au Québec... Être le numéro 1 dans mon sport est très important pour moi et je suis dans une position pour le devenir, alors je vais saisir la chance ».
- «Ce sera difficile ici pour nous. Nous sommes désignés à titre de favoris, alors les autres équipes voudront nous laisser faire tout le travail. Mais contrairement à ce qui s’est passé sur le Tour, nous n’avons pas l’équipe la plus forte du peloton ici au Québec... Être le numéro 1 dans mon sport est très important pour moi et je suis dans une position pour le devenir, alors je vais saisir la chance ».
Steve Bauer of Spidertech p/b C10 thanked all his staff, partners and sponsors. He announced the team and then placed a call to David Boily -who represents Canada at the Tour de L’avenir where he today won a stage and wears the Yellow Jersey- to congratulate him and wish him the best of luck for the rest of the Tour.
Steve Bauer a profité de la conférence de presse pour remercier le personnel de l’équipe Spidertech p/p C10 ainsi ses partenaires et commanditaires. Après avoir présenté son équipe il a pris un instant pour appeler son coureur David Boily qui représente le Canada au Tour de l’Avenir où il s’est emparé du maillot Jaune de leader au classement général. Son message était simple : «Bravo David! Bonne chance pour la suite de l’épreuve».
Martin Gilbert:
- "I feel in top form and looking forward to the Quebec Grand Prix as it's better suited to my style of racing than the Montreal course".
- «Je me sens en grande forme et j’ai hâte de courir à Québec. Cette course convient plus à mon style que celle de Montréal».
David Veilleux:
- "I would like to do well here in Quebec and then go to the World Championships but it's not up to me. The decision will be made by a commitee and I will respect their decision".
Pierre Rolland:
- "My condition is not as good as during the Tour but I'm highly motivated to do my best to win". Concerning his teammate David Veilleux: "He's a strong and promising rider and 'm sure he's going to blossom and become very important to our team".
- « Ma forme n’est pas aussi bonne qu’elle l’était lors du Tour, mais je très motivé et je vais faire de mon mieux pour gagner ». À propos de son co-équipier David Veilleux : « Il est fort et il a un grand potentiel. Je suis certain qu’il va devenir très important pour l’équipe ».
Given his experience, Svein Tuff represents the best chance of victory for Spidertech p/b C10. It will be interesting to keep an eye on him.
Compte tenu de son expérience, Svein Tuff représente la meilleure chance de victoire pour Spidertech p/p C10. Il sera à surveiller ce week-end.
Dépêche de presse émise par l'organisation du Grand Prix Cycliste de Québec et du Grand Prix Cycliste de Montréal
La semaine des Grands Prix Cyclistes de Québec et de Montréal est lancée
Québec, le mercredi 7 septembre 2011 – Avec l’arrivée des ProTeams hier, les Grands Prix Cyclistes de Québec et de Montréal (GPCQM), épreuves de l’UCI WorldTour, sont lancés.
Deux nouveautés principales sont au programme de cette deuxième édition. La première est une boucle de plus, rajoutée à chacune des deux épreuves. La raison est simple. À proximité des Championnats du monde (25 septembre à Copenhague, Danemark) les coureurs ont besoin de courses longues et dures. Les deux épreuves dépasseront les 200 kilomètres (16 tours à Québec pour un total de 201 km, 17 tours à Montréal pour un total de 205 km).
La seconde nouveauté est le Challenge Sprint Pro. Testé l’an dernier avec des concurrents canadiens, l’épreuve mise sur pied par Serge Arsenault prend son envol avec 24 participants, dont 22 représentants des équipes des Grand Prix Cyclistes et deux Canadiens qualifiés dans le Challenge Sprint Canada. Ils s’affronteront sur un kilomètre sur la Grande Allée de Québec le 8 septembre à 16h. Le principe est simple et très excitant : il faut battre ses adversaires pour se qualifier au tour suivant jusqu’à la finale. L’Union Cycliste Internationale (UCI) soutient cette initiative qui pourrait avoir un avenir mondial dans le futur.
Référant à la participation volontaire de toutes les ProTeams au Challenge Sprint Pro, Charly Mottet, Manager Sport au GPCQM, a déclaré : « toutes les équipes ont accueilli avec enthousiasme cette épreuve et alignent un coureur. C’est un bon signe. » La dotation du Challenge Sprint Pro est de 19 740 Euros. Le vainqueur pourrait obtenir jusqu’à 5 320 Euros.
Le Grand Prix Cycliste de Québec est couru sur un circuit exigeant, pour puncheurs, c'est-à-dire pour coureurs capables de placer une accélération violente dans les pentes du Vieux Québec pour s’imposer. La pente de la côte de la Montagne atteint une inclinaison de 13%. « Sur un tel parcours, il faut être opportuniste et savoir se placer. C’est un circuit magnifique, » a ajouté Charly Mottet au sujet du parcours.
Le Grand Prix Cycliste de Montréal est une épreuve difficile sur le circuit du mont Royal, rôdé par l’expérience des Jeux olympiques de 1976 et du Grand Prix des Amériques dans les années 80. Les vrais grimpeurs peuvent s’y exprimer et les puncheurs ont aussi leur chance. La côte Camilien-Houde de 1,8 km de longueur et un pourcentage moyen de 8%, sera escaladée 17 fois. Elle ne pardonnera pas la moindre faiblesse. L’enthousiasme du public dans l’ascension, indispensable aux coureurs, crée une atmosphère de Tour de France.
« Quand j’ai entendu l’ovation du public de Montréal sur le podium l’an dernier, j’ai ressenti quelque chose de très fort » a déclaré le canadien Ryder Hesjedal de Team Garmin-Cervélo, troisième du Grand Prix Cycliste de Montréal en 2010.
Le peloton est encore plus relevé que pour la première édition. Le bouche à oreille a fonctionné et de nombreux coureurs ont demandé à leurs directeurs sportifs de venir au Québec. Avec quatre des onze premiers du dernier Tour de France (Samuel Sanchez, Thomas Danielson, Jean-Christophe Peraud et Pierre Rolland), mais aussi le numéro 2 mondial Philippe Gilbert, l’homme de la saison 2011, Edvald Boasson Hagen, Robert Gesink, le vainqueur de Montréal, Ryder Hesjedal, Levi Leipheimer, George Hincapie, John Gadret, quatrième du dernier Tour d’Italie, Sandy Casar et bien d’autres, le plateau est très relevé et la liste des favoris est longue.
« Je viens au Québec pour gagner, » a affirmé Philippe Gilbert. Seulement six points séparent Philippe Gilbert de Cadel Evans au classement de l’UCI WorldTour (574 contre 568).
Les enjeux sont nombreux et divers. Pour Philippe Gilbert, il s’agit de confirmer sa position de favori mais aussi de détrôner Cadel Evans du sommet du classement mondial. Les 40 points UCI attribués au vainqueur de chacune des courses lui permettraient de reprendre la place d’honneur qu’il détenait en début de saison. Pour de nombreux coureurs, c’est également de marquer des points UCI qui permettent à leurs équipes de rester dans la hiérarchie du WorldTour. Pour les équipes, il faut marquer des points qui permettent de conserver la licence WorldTour délivrée par l’UCI.
« Ce sont des courses importantes pour toutes les équipes. Parce que l’on sait qu’elles sont bien organisées, que les parcours sont beaux, qu’il y a du monde mais aussi parce qu’en fin de saison, toutes les équipes ont besoin de marquer des points pour le classement mondial » a affirmé Vincent Lavenu, directeur de l’équipe AG2R-La Mondiale.
Le WorldTour, c’est le circuit mondial qui, de janvier à octobre, met aux prises les représentants des 18 ProTeams aux quatre coins du monde. Il comprend les « historiques », le Tour de France, Paris-Roubaix, Liège-Bastogne-Liège, et des épreuves plus récentes comme nos Grands Prix. Chaque épreuve rapporte des points aux coureurs et aux équipes les mieux classés. Les 27 étapes du circuit UCI WorldTour sont disputées dans onze pays du monde, du Tour Down Under en janvier au Tour de Lombardie en octobre.
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